16 mai 2024

Ces IST dont on parle peu

Les infections sexuellement transmissibles sont très dangereuses et donnent de nombreuses complications. Les préservatifs, et les sensibilisation ne suffisent pas pour les freiner.

Il existe de nombreux types d’infections sexuellement transmissibles; mais parmi elles l’organisation mondiale de la santé (OMS) cible huit qui sont beaucoup plus courantes: la chlamydiose, la gonorrhée, la trichomonase, la syphilis dont le traitement peut s’effectuer  si la prise en charge se fait rapidement. On estime á plus de 350 millions le nombre de personnes atteintes par ces quatre
Infections sexuellement transmissibles.

A ces quatre IST cités tantôt , on peut ajouter: l’hépatite B, l’herpès génital , le VIH et le papillomavirus humain, qui elles sont difficiles ou impossible à guérir.

Une idée de l’inpact Mondial
Plus de 500 millions de personnes sont atteintes du virus responsable de l’herpès génital (HSV2) et plus de 290 millions de femmes souffrent d’une infection à papillomavirus humain (VPH) (1).

Ces infections qui sont transmissibles par contact cutané lors d’un rapport sexuel, vaginal, oral ou anal peuvent aussi être transmises d’une mère à son enfant pendant la grossesse ou à l’accouchement.

Dans la majorité des cas, les infections sexuellement transmissibles sont asymptomatiques ou s’accompagnent de symptômes bénins qui ne sont pas reconnus comme ceux d’une IST.

Ces infections peuvent engendrer des complications de grossesses chez les femmes ou la transmission des infections de la mère à l’enfant, ainsi que la sterilité chez les deux sexes.

Un survol du système de santé et d’ éducation sanitaire et sexuelle peut montrer l’inefficacité des acteurs haïtiens à donner une réponse adéquate à ses infections, malgré de nombreuses campagnes nationales.

Aussi, des conditions relativement  objectives ont expliqué le focus quasi total de la lutte contre les IST en Haïti qui se résume souvent uniquement qu’ à la lutte contre le Sida.

Des spécialistes en santé communautaire interrogés affirment que les campagnes doivent mieux inclure la population ecolière qui souvent entrent très tôt dans la vie sexuelle.

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