Il est grand temps que nous fassions un ultime effort pour sauver ce qui peut l’être pour nous-mêmes ; de par nous-mêmes.
Nous avons l’obligation de nous asseoir et de regarder dans la même direction, ce, en dépit de nos divergences politiques. Haïti doit être notre priorité.
L’union fait force
On ne construit pas un pays avec des armes. On construit un pays avec des idées. Et , autour de ces idées, il devait y avoir des hommes et femmes compétents, conscients, fougueux , soucieux des intérêts supérieurs de la nation. Notre révolution doit être, avant tout, mentale. Il ne faudrait, donc, pas penser à recourir à la rébellion.
La rébellion se fait avec des armes mais la révolution avec le cerveau.
Mes chers compatriotes
faites travailler les méninges pour pouvoir sortir le pays de cette situation extrêmement dangereuse. Aujourd’hui, Haïti est comme une poudrière. Soyez prêts à faire des concessions au profit de la République ; la première dans toute l’histoire de l’humanité. Car , dis-je, il n’y a que les ennemis de la démocratie qui puissent souhaiter l’effondrement du pays.
Se sèl nan dyalòg nou ka rezoud pwoblèm yo kèlkeswa jan sa ye. Pou peyi a se pou n fè depasman an
WADSON DÉSIR
CITIYEN CONSCIENT ET SOUCIEUX DU DEVENIR DE SA TERRE NATALE.