La victoire de Gabriel Boric à la présidentielle chilienne fait office de bouffées d’oxygène et d’espoir pour le a leaders de mouvememts de jeunesse, voulant voir émerger les jeunes leaders aux plus hates sphères du pouvoir,notamment en Haïti.
Toutefois, Gabriel Boric ne sera pas le seul “millennial” à diriger son pays. A travers le monde, d’autres très jeunes leaders ont aussi émergé; de sorte que M. Boric partagera des rendez-vous internationaux avec des jeunes de son âge, comme la Nouvelle-Zélande ou la Finlande, et des voisins d’Amérique latine, comme le Costa Rica et le Salvador.
Malgré un an de plus que Boric, la Finlandaise Sanna Marin est arrivée au pouvoir en 2019 à seulement 33 ans, avec un discours progressiste qui a surpris.
Il y a eu également
l’Autrichien Sebastian Kurz, qui est également devenu Premier ministre à l’âge de 33 ans, mais a démissionné en octobre après avoir été mentionné dans l’enquête mondiale des Pandora Papers.
Une autre des “millennials” qui a acquis beaucoup de notoriété ces derniers temps est la Néo-Zélandaise Jacinda Ardern, admirée pour son management durant les premiers mois de la pandémie et pour avoir rendu sa maternité compatible avec le poste.
Les réseaux sociaux ont joué un rôle « déterminant » dans l’émergence de ces nouveaux dirigeants, notamment le salvadorien Nayib Bukele qui a tweeté dès son entrée en fonction :”Officiellement, je suis le président le plus cool du monde”.
Tous ces dirigeants ont d’abord suscité des craintes en raison de leur manque d’expérience, d’où l’importance « d’ajouter un soutien transversal et intergénérationnel »,