L’Agence américaine de protection des consommateurs a assigné lundi 29 août en justice une société de collecte de données pour avoir vendu aux groupes anti-IVG les informations de géolocalisation de « centaines de milliers » de téléphones portables.
La quasi-totalité des applications sur mobiles transmettent ce type de données qui tracent les lieux fréquentés par les propriétaires de mobiles. Et par croisement des informations, elles révèlent leur nom et l’adresse de leur domicile.