Au lendemain de l’enlèvement de deux minibus et leurs 38 passages, un syndicat de transports en commun a annoncé samedi 11 juin que tous les kidnappés ont été libérés des mains des gangs criminels. Le cas illustre l’insécurité régnante à Port-au-Prince, où le quotidien est rythmé par les kidnappings puis les libérations des victimes des gangs depuis des mois.