par Mikhail Pontoliak, conseiller à la présidence ukrainienne et chef des négociations “gelées” avec la Russie a expliqué la raison pour laquelle« La Russie n’est pas prête à autoriser un couloir humanitaire depuis Marioupol.
C’est symbolique pour eux de détruire les combattants de Marioupol et d’Azov” en vue du 9 mai et du grand défilé militaire qui est organisé chaque année à Moscou en souvenir de la victoire sur les troupes hitlériennes.
Plus de deux mois après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le bilan des pertes en matériels et en vies humaines est très épais. Marioupol, assiégée est l’une des villes les plus touchées… On estime qu’il reste environ 80 000 Ukrainiens dans les ruines de cette ville, qui a été presque entièrement rasée, tandis qu’environ 2 000 combattants et 1 000 civils se trouvent parmi les vastes installations sidérurgiques, dont de nombreuses femmes et enfants.
Jusqu’à présent, il y a eu plusieurs tentatives d’évacuation d’Azovstal, ou du moins d’évacuation de civils, mais toutes ces tentatives ont échoué, Kiev accusant Moscou de tirer sur des convois de voitures évacuant des civils.
Dans na foulée, “Le pape François a tenté à trois reprises de persuader le président russe Vladimir Poutine d’autoriser un couloir humanitaire depuis Marioupol, mais le Kremlin a déclaré qu’il” ne pouvait pas garantir la sécurité “Environ 100 000 personnes restent piégées dans le Marioupol bombardé avec peu de nourriture, d’eau ou de médicaments.
