Lancement samedi dernier par le centre de développement communautaire CEDEC de l’ ” Académie Cedec” consistant en une série d’ateliers de jeux, de relaxation, de formation civique et de débats avec des professionnels tous les samedis.
La coordinatrice de ce projet Nathalie Orgella affirme que c’est par les jeux traditionnels et autres séances d’accompagnement aux enfants de 5 à 18 ans que le Cedec a planifié de s’occuper de la santé mentale de nos enfants, en proie à d’énormes stress notamment par rapport à la situation délétère du pays.
Nathalie C. Orgella fait savoir que pour la première séance , 40 enfants ont été présents.
Alors que les enfants de moins de 8 ans visionnaient des dessins animés, les plus grands ont eu à participer à une séance d’échanges avec le fameux psychothérapeute haïtien Judensky Pascéus St-Fleur du cabinet Pascéus .
M. St-Fleur a montré à ses jeunes les exercices pouvant aider à faire le vide dans leurs têtes,mieux se concentrer et se valoriser et à mieux gérer le stress.
Son message de positivité qui résonne désormais sur la plupart des réseaux sociaux et sur trois stations de radio: Pacific,Galaxie et Caraïbes fait écho à Cedec. Les enfants se sont déclarés satisfaits de cette échange.
Après le goûter de fin de matinée,plusieurs ateliers ont été formés : jeux traditionnels : saut à la corde, marèl,pench, osselets ; mais aussi football et danse traditionnelle.
Programme initié par deux cadres du Cedec : Nancy Lainé Isaac Nathalie C. Orgella , cette organisation communautaire vielle de 25 ans a voulu offrir un cadre apaisant ,Un havre de paix aux jeunes.
Nathalie Orgella informe que les parents peuvent venir inscrire leurs enfants.Ils auront seulement à remplir une fiche spécifiant les possibles allergies des enfants.
” Rendez-vous donc tous les samedis à partir de 9 hres dans les locaux à Delmas 83,Rue Boisrond Canal , du Conseil National de la société civile Ayitienne (CNSCA).Nous atte dons aussi des partenaires qui voudront aider au financement et donc à la pérennisation de ce projet” a conclut Mme Orgella.