par Ce lundi 18 octobre 2021 des chauffeurs de transport en commun restent chez eux en vue de répondre aux appels des syndicalistes de chauffeurs et de propriétaires de véhicule dans le cadre de la grève illimitée lancée dès ce lundi pour dénoncer la nonchalance du gouvernement haïtien face à la remontée exagérée sud climat d’insécurité caractérisée par le kidnapping.
Tôt ce lundi 18 octobre 2021, dans plusieurs zones de la capitale notamment au centre ville de Port-au-Prince, Delmas, Petion ville entre autres, il est plus facile de trouver l’or que de trouver un véhicule de transport en commun, a constaté un journaliste du journal Fernando Live News sillonnant la rue de Port-au-Prince.
Ce constat implique, selon notre journaliste, les véhicules assurant le trajet à l’intérieur de la capitale ainsi que ceux des différentes villes de province.
Des riverains venant de différents quartiers de la capitale qui voulaient vaquer à leurs activités ont dû rebrousser chemin, d’autres ont été obligés de prendre la route à pieds pour s’y rendre.
En outre, aucune présence d’élève en uniforme n’est remarquée dans les communes plus haut citées , d’ailleurs plusieurs grandes intitutions du pays notamment des écoles n’osent même d’ouvrir leurs portes, rapporte notre professionnel de l’information.
Les activités commerciales fonctionnement au ralenti dans plusieurs marchés de la capitale.
Il faut rappeler que cette grève est lancée par des responsables d’associations et propriétaires de véhicules en vue de protester contre la recrudescence du climat d’insécurité et contre les autorités du pays qui ne faient de constater les dégâts comme tous les simples citoyens.
