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La coalition politique Chwazi Ayiti fustige le Coordonateur fraîchement intrônisé du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) quant à son ascension et les manoeuvres l’ayant conduit ainsi qu’un Premier Ministre désigné à la tête du pays
Ce 30 avril 2024, les locaux du Villa d’Accueil ont été le théâtre de manoeuvres ayant abouti au choix de M. Edgard LEBLANC-FILS comme le Coordonateur du Conseil Présidentiel de Transition d’Haïti. Une ascension qui irrite une partie du CPT, des secteurs politiques et une partie de la société civile. Ces acteurs, dont CHWAZI AYITI principalement, croient qu’il s’agit d’un coup d’état, d’un coup bas orchestré de toutes pièces par des parties dont la vélléité n’est autre que l’accession et la jouissance insouciante du pouvoir.
L’un des membres influents de CHWAZI AYITI croit fermement que l’ancien Sénateur LEBLANC a pris les règnes de façon malicieuse et que les structures telles que EDE, RED, Compromis historique, Pitit Dessalines , Accord du 21 décembre … n’ont fait que nourrir les présomptions qui font d’eux des fossoyeurs du pays.
L’un des porte-paroles de cette structure , Cliff Coulanges , suggère fermement que ces acteurs, de mauvaise foi, selon lui, planifient déjà et ne jurent que par l’échec du pays.
En effet, l’impénitente figure de CHWAZI AYITI, tout en réaffirmant son opposition catégorique à cette structure qu’est le CPT, convie les structures politiques représentatives de la population à faire front contre ces semeurs de désepoir, qui dit-il, ont déjà envoyé un sombre signal en violant leur propre accord.
En dernier ressort, l’intransigeant membre de Chwazi Ayiti, pétrifiant M. LEBLANC qui, selon lui, souffre chroniquement de la maladie de la Présidence et avec son parti, n’ont pour cheval de bataille que la traitrise, les coups bas et la mesquinerie, pense que le Coordonateur ment d’entrée et sciemment à la population et aux acteurs. Il dit en ce sens, reprendre les mots des autres structures dont Montana et Fanmi LAVALAS qui disent clairement qu’il s’agit d’un coup d’Etat.
Coiffant le tout par le triste constat que le Conseil, d’entrée, connait une implosion, La voix percutente de Chwazi Ayiti met en garde les protagonistes et dit espérer se tromper sur sa lecture de la situation.
