Menacé par la montée des eaux, le président du Vanuatu a réclamé, à la tribune de l’ONU, à la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles ».
Nous appelons au développement d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles pour sortir du charbon, du pétrole et du gaz en accord avec +1,5°C », objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris, a déclaré Nikenike Vurobaravu à l’Assemblée générale des Nations unies.
Cette campagne, lancée par des défenseurs du climat inspiré par le traité de non-prolifération des armes nucléaires, est aussi soutenue par le Vatican. Le Vanuatu est donc le premier « État-Nation » à soutenir l’initiative.