Le G7 n’a pas encore fixé le montant de ce plafond qu’il entend instaurer. Dans leur déclaration commune, les pays du G7 expliquent que le prix sera basé sur une série de données techniques et sera décidé par l’ensemble de la coalition avant sa mise en œuvre. Ces futurs prix seraient « communiqués publiquement » le moment venu.
L’idée est en tout cas que ce montant soit inférieur au prix de vente actuel du pétrole russe, mais il resterait supérieur au coût de production. Objectif : que Moscou ait encore un intérêt à vendre son pétrole et qu’il n’arrête pas ses livraisons.