Si le Kremlin affirme résister aux sanctions, lundi 18 juillet, Vladimir Poutine a semblé quelque peu infléchir sa position et a reconnu des difficultés « colossales » qu’il promet de vaincre, notamment dans le secteur des nouvelles technologies.
Avec le départ des géants de tech de Russie comme Microsoft, Apple, Google, Adobe ou Cisco, de nombreux consommateurs et des entreprises se retrouvent sans alternative. La pénurie de semi-conducteurs, par exemple, perturbe l’industrie, de l’automobile à l’armement. D’autre part, outre le départ en Russie d’entreprises clés, des fournisseurs occidentaux ont cessé d’assurer un soutien technique à leurs clients russes.